Le Pastef, parti d’Ousmane Sonko qui se veut intègre, opère de manière paradoxale. Habitué des dénonciations et des calomnies, certains membres de son parti, pour des intérêts crypto-personnels, s’illustrent dans des opérations complexes, loin du respect des valeurs prônées. Un responsable de Pastef France, incriminé, est au coeur d’une opération de falsification de document, en faisant du faux et usage du faux.
Un responsable de Pastef France a commis un faux et usage de faux, en falsifiant une affiche. En plus de cela, il a signé un faux communiqué au nom d’un bureau de la section de 95 (Val d’OIse) où il est adjoint. Ledit communiqué signé est non seulement faux, mais, il va à l’encontre de la décision démocratique du Bureau.
Suivant le contexte, il est indiqué qu’il ne souhaite pas que les militants de Pastef France tiennent un débat démocratique sur les Législatives (profil du député, mode de désignation interne etc). Ce responsable usant du faux, regrette-t-on, voulait protéger le coordonnateur Alioune Sall qui s’oppose à cette idée, pour des raisons d’intérêts personnels. D’après la source, Alioune Sall compte se faire désigner en bonne position et de manière officielle, par un petit groupe d’électeurs acquis à sa cause.
Ainsi, le coordonnateur de Pastef France, Alioune Sall, bien qu’étant au courant de cet acte d’une gravité extrême dans un parti qui se dit de rupture, n’a pas bronché. Pis encore, il n’a même pas condamné la commission de ce faux.